Un véritable séisme a secoué le basket américain : les Lakers, synonymes de légende et de folie made in USA, viennent d’être cédés pour la somme vertigineuse de 10 milliards de dollars. Imaginez la scène : un tremblement de terre qui efface l’ancien monde pour ouvrir la voie aux super-investisseurs et au spectacle XXL. Face à cette vente record, tout Los Angeles retient son souffle. D’un côté, la nostalgie de l’ère Buss, de l’autre, une révolution qui s’annonce, portée par la technologie et les affaires. Tandis que les attaches historiques s’accrochent encore aux parquets du passé, des lumières neuves s’allument déjà sur le Crypto.com Arena. La saga Lakers poursuit son cours, prête à bousculer autant les traditions que les passions.
10 milliards posés sur la table : la secousse Lakers qui change tout
Le basket vient de vivre un épisode financier que beaucoup n’avaient pas vu venir avec autant d’ampleur. Imaginez : une équipe mythique, une galerie de légendes, vendue au prix d’un blockbuster… mais cette fois, tout est bien réel : 10 MILLIARDS de dollars. Los Angeles se retrouve propulsée dans une autre galaxie, les compteurs explosent. Un chiffre à donner le vertige, une annonce qui fait vibrer tout Los Angeles… et pas que. Pourquoi un tel passage de témoin ? Que réserve l’avenir à cette franchise devenue icône du sport américain, maintenant que son destin bascule entre de nouvelles mains nourries de business et de technologie ? Les réponses s’enchaînent toutes seules. Impossible de détourner les yeux.
Quand l’héritage rencontre la nouvelle vague : la révolution silencieuse à L.A.
Le règne de la famille Buss s’efface soudainement. L’histoire – des années « showtime » de Magic Johnson jusqu’à la couronne NBA glanée par LeBron James – prend déjà une certaine couleur nostalgique. Pourtant, ce n’est pas le passé qui tend les nerfs : il suffisait de regarder le montant de la transaction pour comprendre. Jamais un tel prix n’avait été atteint, tous sports confondus. Aux premières heures californiennes, les investisseurs frémissent d’excitation. Cette méga-opération a pour chef d’orchestre Mark Walter et un consortium tech venu de Los Angeles. Leur objectif ? Ni plus ni moins que rafler le sommet du basket mondial et donner un nouveau visage au Crypto.com Arena, transformé en station orbitale du sport et du divertissement.
Pourquoi 10 milliards ? Ouvrir le futur, sans couper les racines
Les Lakers ne se résument pas à un club et 17 bagues : on évoque ici une dynastie, une marque planétaire qui fait rêver les sponsors sur tous les continents. Après des décennies de succession familiale ultra-serrée, ce deal offre un nouveau chapitre au sport US. Aujourd’hui, chaque équipe se mue en empire, portée par des transactions record et des stratégies toujours plus affûtées. Pour les fans, c’est la promesse assumée d’un virage business : place à l’innovation, aux alliances entre sport et divertissement, à la course pour conquérir les publics du monde entier sur tous les écrans. Le sport dépasse la simple notion de jeu… La scène s’agrandit, les projecteurs du capitalisme brillent plus fort que jamais.
Retour express sur 80 ans d’héritage et de business : comment tout a basculé ?
Difficile de saisir l’ampleur de cette nouvelle étape sans parcourir un héritage aussi dense qu’un roman. Un coup d’œil à la chronologie et tout s’éclaire :
Période | Propriétaires | Détail clé |
---|---|---|
1947 | Berger & Chalfen | Création à partir d’une équipe de Minneapolis, pour 15 000 $ |
1957 | Bob Short | Rachat pour empêcher la fuite du club, 200 000 $ misés |
1965 | Jack Kent Cooke | Acquisition à 5 millions $, couleurs et déménagement à Los Angeles |
1979 | Jerry Buss | Entrée pour 67,5 millions $ – L’âge d’or des Lakers commence |
2013-2025 | Famille Buss puis Jeanie Buss | Passage de témoin familial ; consolidation du règne Buss |
2021 | Mark Walter (minoritaire) | Première prise de participation, le début d’une nouvelle ère |
2025 | Mark Walter (majoritaire) | Le « big bang » à 10 milliards $ |
À chaque fois, un nouveau souffle. Mais l’angle business n’a jamais été assumé avec autant de vigueur. Ce prix-là n’achète plus seulement une équipe, mais une plateforme planétaire. L’audace et le vécu s’invitent au casting.
Et maintenant ?
La NBA doit valider la transaction. Rien n’est encore signé à 100%, mais à moins d’un retournement de situation, le compte à rebours a démarré. Les Lakers, incarnation du glamour, s’apprêtent à changer de dimension. Vont-ils accélérer et réinventer la notion même de club dans les années 2030 ? Ou préserveront-ils cette petite flamme « showtime » au cœur d’un empire devenu géant des affaires ? L’histoire reste à écrire : et ici, tout se joue sur un rebond imprévu.
Gardez ce point en tête : lorsqu’un monument passe dans d’autres mains, tout un peuple de supporters s’apprête lui aussi à écrire un nouveau chapitre – basket, business, émotions… l’inattendu garde toujours sa place.